ABD AL-AZIZ AL-KHAYYIR

ABD AL-AZIZ AL-KHAYYIR

Profession
POLITICIAN
Disparu·e depuis
09/20/2012
Vu·e pour la dernière fois
Service de renseignement de l’armée de l’air

Abd al Aziz al Khayyir est chef du service Affaires étrangères de l’Organe national de coordination pour le changement démocratique (NCB).

Ses biens
PORTE-MONNAIE

Abd al-Aziz al-Khayyir est chef du service Affaires étrangères de l’Organe national de coordination pour le changement démocratique (NCB). Il a été emprisonné entre 1992 et 2005 pour ses activités pacifiques en sa qualité de membre du Parti d’action communiste et considéré comme un prisonnier d’opinion par Amnesty International. Le 20 septembre 2012, il a été arrêté à un poste de contrôle par des membres du Service de renseignement de l’armée de l’air, alors qu’il venait de rentrer à Damas après un séjour en Chine pour le compte du NCB. De sources non officielles, il a été emmené dans un centre géré par le Service de renseignement de l’armée de l’air dans le quartier de Mezzé, à Damas, puis transféré dans un lieu inconnu en février 2013. Les autorités syriennes nient l’avoir arrêté et placé en détention, et la SANA, l’agence de presse nationale, a annoncé qu’il avait été enlevé par des membres d’un « groupe terroriste ». Plusieurs autres membres du NCB sont eux aussi toujours en détention ou font l’objet d’une disparition forcée.

Abd al Aziz a laissé son porte-monnaie.

La séquence sonore est une interview enregistrée de son épouse Fadwa Mahmoud, une éminente militante, ancienne détenue et membre fondatrice de Familles pour la liberté. Le fils de Fadwa, Maher Tahan, a été arrêté et victime d’une disparition forcée en même temps qu’Abd al Aziz al Khayyir, le 20 septembre 2012.

Récit complet

Abd al Aziz al Khayyir est chef du service Affaires étrangères de l’Organe national de coordination pour le changement démocratique (NCB). Il a été emprisonné entre 1992 et 2005 pour ses activités pacifiques en sa qualité de membre du Parti d’action communiste et considéré comme un prisonnier d’opinion par Amnesty International.

 

Le 20 septembre 2012, il a été arrêté à un poste de contrôle par des membres du Service de renseignement de l’armée de l’air, alors qu’il venait de rentrer à Damas après un séjour en Chine pour le compte du NCB. De sources non officielles, il a été emmené dans un centre géré par le Service de renseignement de l’armée de l’air dans le quartier de Mezzé, à Damas, puis transféré dans un lieu inconnu en février 2013. Les autorités syriennes nient l’avoir arrêté et placé en détention, et la SANA, l’agence de presse nationale, a annoncé qu’il avait été enlevé par des membres d’un « groupe terroriste ».

 

Plusieurs autres membres du NCB sont eux aussi toujours en détention ou font l’objet d’une disparition forcée.